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actualités de maâtkas et de ses environs
15 janvier 2007

SOUK EL TENINE/ CE « CHAT » QUI PERMET D’EMIGRER

SOUK EL TENINE/                 CE « CHAT » QUI PERMET D’EMIGRER

Qu’elle soit épistolaire ou virtuelle, la correspondance continue toujours de susciter énormément de passion chez bon nombre de jeunes garçons et filles qui y trouvent beaucoup de plaisir à tisser des relations amicales, voire amoureuses avec d’autres jeunes des quatre coins de la planète. Jadis, quand l’Internet n’existait pas, bon nombre d’Algériens se suffisaient juste de consulter les revues et autres magazines spécialisés pour dénicher les potentiels amateurs de la correspondance en vue de créer des relations épistolaires dans le but, donc, d’échanger les idées. Aujourd’hui, avec l’avènement de ce nouveau moyen des multimédias, la correspondance a pris d’autres formes beaucoup plus pratiques et efficaces. Ainsi, si une bonne partie de nos jeunes se contentent juste d’en rester uniquement dans ce stade d’échange d’idées, il n’en demeure pas moins qu’une autre partie utilise ce créneau comme moyen de pouvoir “déguerpir” du pays vers d’autres cieux plus cléments et généreux. Les termes “chat” (à ne pas confondre avec le félin), “tchatcher” et autres sont devenus en vogue chez cette composante juvénile adepte de l’Internet et de la téléphonie mobile.
Dans la circonscription de Maâtkas, les exemples de ces jeunes, qui ont pu grâce à cette correspondance virtuelle, dénicher des partenaires matrimoniaux particulièrement dans les pays francophones, tels

la France

,

la Belgique

,

la Suisse

, le Luxembourg et même le Canada, sont légion.
Et cela commence à faire sérieusement des émules, y compris chez la gent féminine qui, elle aussi, trouve un malin plaisir à s’adonner à cette pratique qui facilite souvent l’obtention de ces fameux visas vers l’outre-mer par le biais de ces certificats d’hébergement beaucoup plus crédibles de ces ami (e) s français, belges, suisses…
En somme, au-delà de la passion qu’elle entraîne, la correspondance épistolaire ou virtuelle reste un excellent moyen pour ces innombrables candidats à l’émigration de pouvoir réaliser leur rêve et à changer d’horizon en tissant des relations qui aboutissent souvent aux mariages mixtes, donc à un regroupement familial, et le tour est joué.

                                                                                                                         amar mesbah

MAATKAS/     CAMPAGNE OLEICOLE : TOUT NE BAIGNE PAS DANS…L’HUILE !

La déception est à la limite de la frustration chez les nombreux oléiculteurs de la circonscription de Maâtkas où les premiers résultats de production oléicole sont franchement insignifiants comparativement aux saisons précédentes. En effet, une simple virée chez quelques huileries de la contrée nous renseigne sur ces petites quantités d’olives entassées par les fellahs. Il faut dire que la plupart de ces derniers n’ont même pas daigné toucher à leurs oliviers en raison tout bonnement de cette maigre olivaison qui a touché pas mal de vergers. Il convient de souligner que cette culture arboricole dépend très étroitement des caprices de la météorologie. Une météo qui n’a pas trop souri aux paysans depuis les fameuses neiges du 25 janvier 2005 en raison de la faible pluviométrie qui a caractérisé toute l’Afrique du nord.

Ainsi, cette hausse des prix d’huile d’olive qui avoisinent les 300 dinars le litre est, à vrai dire, prévisible surtout que maintenant la demande ne cesse d’aller crescendo de par toutes ces sollicitations qui émanent même de l’algérois. C’est dire que tous les efforts consentis à la fois par les oléiculteurs et les pouvoirs publics par le biais des assistances financières accordés dans le cadre des différents plans de développement agricole (FNDA ,FNDRA,FDIA…) n’ont pour l’heure, aboutir aux résultats escomptés. La vétusté des oliviers, la réticence des paysans à procéder à la taille de régénérescence, le manque d’assistance technique, de vulgarisation et de traitements phytosanitaires, les incendies ravageurs, l’absence de nouvelles plantations…autant de raisons qui ont, hélas, contribuer à cette descente aux enfers de l’oléiculture au niveau de cette région qui, jadis, était indétrônable en matière de production oléicole.

                                                                                                               amar mesbah

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