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actualités de maâtkas et de ses environs
12 février 2007

maatkas actu

MAATKAS/ CRISE A L’APC : TOUS LES PARTIS AFFECTES La crise qui frappe ces jours-ci l’APC de Maâtkas semble se répercuter sur pas moins de deux partis politiques qui y siégent. De prime abord, c’est le FFS qui a subi quasiment l’irréparable suite au divorce consommé entre l’ex ; P/APC et un autre élu avec cette formation politique. Pis, le premier responsable de la formation d’Hocine Ait-Ahmed en l’occurrence le premier secrétaire de section M.Aissa Herbane a tout simplement jeté l’éponge en démissionnant de son parti. C’est dire que le plus vieux parti d’opposition n’en est pas sorti indemne de cette crise politique locale. Le RND pour sa part, qui possède deux élus à la municipalité semble également en être affecté, sinon comment expliquer la position antinomique de ses deux élus qui n’ont pas adopté la même position lors du retrait de confiance à l’ex : maire. L’un en l’occurrence M.Toumert ayant tout bonnement voté la motion de défiance en compagnie avec 03 élus FFS et 04 FLN, tandis que M.Zaidat, l’autre élu de la formation d’Ahmed Ouyahia s’est catégoriquement opposé à la destitution de M.Khermouche. Deux positions donc tout a fait opposées. L’ex tête de liste RND a d’ailleurs rendu une déclaration publique où il fait étalage de sa position « qui ne représente aucune antinomie avec la ligne de son parti ». Devrons-nous comprendre par là que l’autre position contraire de la sienne en l’occurrence celle de de M.zaidat serait-elle opposée à la ligne de ce même parti ? C’est dire que la crise dans laquelle patauge l’APC a sérieusement ébranlé à la fois le FFS et le RND. Par ailleurs, même l’ex : parti unique est pris à partie pour son incroyable volte-face en votant la destitution de l’ex : maire dans un premier temps pour ensuite se rétracter et faire son mea-culpa en réitérant contre toute attente sa totale confiance à M.Khermouche. En tout état de cause pour l’heure, la situation reste bloquée avec l’installation du nouveau maire et l’ont attend toujours l’arbitrage de l’administration à laquelle toutes les parties s’y sont adressées pour le dénouement de cette crise dont seuls les citoyens en sont les dindons de la farce. AMAR MESBAH
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